Dévasté par la mort de son petit garçon, écrasé par un chauffard, un écrivain exilé en Bretagne perd petit à petit son humanité... Jusqu'au jour où le hasard le précipite sur la piste du coupable, lequel avait disparu dans un délit de fuite. Manipulant une starlette pour parvenir au monstre qui lui a arraché son enfant, notre héros va bientôt s'introduire dans une famille désespérée et désespérante, menée par un individu si infect que la vengeance n'arrivera peut-être même pas par là où on le pense.
C'est grâce à ce film que j'ai commencé le cinéma de Chabrol et je ne regrette rien. Froid, clinique et stressant au possible, Que la bete meure nous fait passer par tous les états de rage imaginables. Son antagoniste principal, joué par Jean Yanne, est le point culminant de tout ce qu'il y a de détestable et de petit dans l'être humain. Et le voir chuter dans la boue de sa médiocrité, dans une période politique comme la nôtre, ça fait un bien fou.
Définitivement un de mes films préférés.
#cinema #filmreview #claudechabrol #nouvellevague
C'est grâce à ce film que j'ai commencé le cinéma de Chabrol et je ne regrette rien. Froid, clinique et stressant au possible, Que la bete meure nous fait passer par tous les états de rage imaginables. Son antagoniste principal, joué par Jean Yanne, est le point culminant de tout ce qu'il y a de détestable et de petit dans l'être humain. Et le voir chuter dans la boue de sa médiocrité, dans une période politique comme la nôtre, ça fait un bien fou.
Définitivement un de mes films préférés.
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